Le fondateur :
Louis-Claude Vincent est né en 1906 au Puy (Haute Loire). En 1925 il obtient un diplôme d’ingénieur de l’Ecole Supérieure des Travaux Publics.

C’est suite à la constatation que l’augmentation du pourcentage du taux de mortalité par maladie dans certaines villes semble corrélée à la qualité de l’eau distribuée aux habitants, que lui vient l’idée de « caractériser » l’eau, en utilisant certains paramètres…

Il reprend alors la notion de pH (degré d’acidité). Puis, il synthétise les travaux de différents chercheurs (Clark entre autres) pour faire émerger la notion de rH2 (degré d’oxydation). Un troisième paramètre vient compléter les deux précédents : la notion de résistivité (charge minérale d’une solution aqueuse).

Les bases de la Bio-électronique sont alors posées en 1948 : ces trois paramètres sont suffisants pour caractériser l’état d’une solution, et par la suite, pour caractériser tout être vivant…

Les travaux de L.CL.Vincent sur l’eau seront complétés et soutenus par Jeanne Rousseau, pharmacienne, qui deviendra sa collaboratrice. Jeanne Rousseau n’a cessé de faire des recherches, et des mesures, sur l’eau de pluie, l’eau de mer, la qualité du sol, les influences cosmiques….

Elle a aussi élaboré la baignoire hydrodynamique, toujours commercialisée mais méconnue.

Jeanne Rousseau est née le 1er février 1915 à Bourgneuf en Retz (44), où elle continue d’y passer une douce retraite…. Un DVD sur la vie et l’oeuvre de Jeanne Rousseau est disponible à la vente à l’Association de Bio-Electronique (ABE).

LES PRINCIPES DE LA METHODE

La méthode bio-électronique, adaptée à la santé, sera utile principalement pour évaluer et caractériser l’état du terrain biologique.

L.CL. Vincent va donc effectuer des milliers de mesures sur des sujets malades, et sur des sujets sains, pour établir les coordonnées bio-électronique qu’il estime être celles d’un corps en bonne santé, c'est-à-dire maintenant son homéostasie.

Ainsi toute « déviation » d’un ou plusieurs paramètres bio-électronique témoigne d’une difficulté du corps à maintenir cette homéostasie. Si ces conditions d’équilibre ne sont pas rétablies, notre organisme ne se trouve plus dans les conditions nécessaires aux différents métabolismes (assimilations, production d’hormones etc.). On « prépare le terrain » à l’éclosion de la maladie.

Pour rétablir cette homéostasie, la méthode bio-électronique utilise essentiellement l’alimentation. Des milliers de mesures ont été pratiquées (et le sont encore) sur des produits alimentaires, des eaux de consommation, afin de les « caractériser » et les positionner sur des bioélectronigrammes.

Les coordonnées de notre sang étant en partie dépendantes de ce que nous absorbons, la correction de notre terrain se fera par le choix d’aliments ayant des coordonnées opposées à celles de notre sang.

Je propose des bilans bio-électronique à mon cabinet sur RDV. Ceux-ci se déroulent sur une matinée (9h-12h). Les mesures sont effectuées en début de matinée. Ensuite le bilan est expliqué et je vous propose le "redressement de terrain" par des conseils naturopathiques. Pour plus de renseignements ou pour prendre contact : l.b-naturo.psy@aliceadsl.fr ou au 02.28.12.04.72.

Source : Naturo-mag.com Février 2010 Le bulletin d’informations au naturel - www.naturo-mag.com Auteur : Laurence Gallais Psychologue- Naturopathe - www.naturo-pratique.fr